Bonjour à toutes et à tous, les inscriptions sont possible pour les adhésions à l’amap.
Vous trouverez les contrats téléchargeables ici.
A bientôt
Bonjour à toutes et à tous, les inscriptions sont possible pour les adhésions à l’amap.
Vous trouverez les contrats téléchargeables ici.
A bientôt
Bonne et heureuse année 2015 à toutes et à tous !
l’amap a repris en décembre dernier et il y a des places disponibles !
n’hésitez pas à nous contacter pour de plus amples informations.
Bonne et heureuse année 2014 à toutes et à tous !
l’amap aura sa première distribution de l’année le 23 janvier 2014 et il y a des places disponibles !
n’hésitez pas à nous contacter pour de plus amples informations !
à en croire cet article repris de Rue 89 on fait bien d’être en AMAP… personnellement j’en était déjà convaincu…
José Bové s’inquiète. Invité de Jean-Jacques Bourdin sur RMC ce mardi, le Don Quichotte de la « malbouffe » revient sur les accords de libre-échange transatlantique – en cours de négociation entre les Etats-Unis et l’Union européenne, conclus vendredi avec le Canada – et surtout sur leurs conséquences en terme de sécurité alimentaire.
« Le problème, c’est que personne n’a vu le texte, le gouvernement ne l’a pas vu. Dans ce texte, la question des importations de bœuf qui pourraient être hormonés risque d’être un problème.
On a eu les grands chapitres : il y a aura deux types de bœuf importé, le bœuf “de qualité”, et le bœuf “standard” : c’est du bœuf aux hormones ! »
Pour comprendre de quoi parle José Bové, il faut rappeler le contexte. Depuis 1988, l’UE soumet le bœuf canadien et américain à des restrictions sur son territoire, pour des raisons de santé publique : l’élevage dans ces deux pays utilise des hormones de croissance interdites en Europe.
En guise de représailles, le Canada et les Etats-Unis sanctionnent des produits européens. Ce conflit commercial dure depuis 25 ans.
Côté européen, la seule viande de bœuf canadienne et américaine tolérée, c’est la viande « haute qualité », c’est-à-dire avec une traçabilité suffisante pour garantir au consommateur qu’elle est sans hormones.
Des négociations permettent d’augmenter épisodiquement les quotas de viande « haute qualité » acceptés en Europe. En échange, le Canada et les Etats-Unis allègent les sanctions sur les produits européens. En mars 2011 par exemple, la Commission européenne et le Canada étaient arrivés à un accord de ce type. Même chose entre les Etats-Unis et l’UE en 2012.
Pour ses partisans, le traité Canada-UE négocié depuis quatre ans permettrait d’accroître de 20% les échanges commerciaux entre les deux zones. Au terme de quatre ans de négociations, le texte prévoit notamment l’abaissement des droits de douane sur un ensemble de services, de produits manufacturés et agricoles.
« Au final, Ottawa a accepté de doubler le quota de fromage européen admis sans droits tarifaires, en échange d’un plus grand accès au marché européen pour les producteurs de bœuf canadiens. »
En vertu de cet accord, l’UE « importera sans droits tarifaires 15 000 tonnes de bœuf congelé et près de 31 000 tonnes de bœuf frais ».
Mais cet accord risque-t-il de remettre en cause un équilibre trouvé tant bien que mal, en permettant l’arrivée de bœuf aux hormones sur le marché européen ? José Bové n’est pas le seul à le penser. Le député européen UMP Michel Dantin menace de ne pas voter l’accord et déclare, dans une interview au Figaro :
« J’attends de voir les termes exacts de cet accord et notamment ses clauses sanitaires. S’il ne respecte pas les conditions d’élevage européennes et les règles sanitaires comme certains députés le soulignent déjà, nous mettrons tout mettre en œuvre pour ne pas voter cet accord. Je rappelle que les hormones de croissance sont interdites pour l’élevage en Europe car elles représentent un danger pour la santé du consommateur. »
Ce qui est perturbant, c’est que pas plus Michel Dantin que José Bové n’ont pu lire le texte intégral de l’accord. Prévoit-il vraiment l’importation de viande hormonée en Europe ou est-ce une crainte des éleveurs ? Attac a aussi fait part publiquement de ses inquiétudes.
D’après les éléments les plus précis parus dans la presse française et canadienne, il n’est pourtant pas prévu de déroger à la règle en vigueur depuis 25 ans. Si Nicole Bricq, la ministre du Commerce française, s’est montrée réservée sur l’accord par crainte d’une concurrence accrue imposée aux éleveurs européens déjà en difficulté, elle a aussi apporté un démenti catégorique à José Bové :
« L’importation de bœuf aux hormones n’est pas dans la négociation. C’est hors de question et nous sommes tous d’accord au niveau européen. »
Elle défend la même ligne en ce qui concerne les Etats-Unis.
Un poids lourd de l’élevage européen confirme auprès du journal québecois Le Devoir :
« Parmi les aspects positifs de l’accord-cadre, Pekka Pesonen [secrétaire général de Copa-Cogeca qui regroupe 38 000 coopératives et 13 millions de producteurs européens] note tout de même que le Canada a accepté les normes européennes interdisant l’utilisation de certaines hormones de croissance. »
L’Association européenne des éleveurs, elle aussi, a admis que « le Canada a fait deux concessions importantes dans le secteur agricole, en acceptant de respecter plus de 140 appellations contrôlées, et en ajustant ses conditions d’élevage aux normes européennes ». D’après La Presse, « la viande canadienne vendue en Europe sera exempte d’hormones de croissance ».
Le journal chiffre même cet effort à « 15% des coûts » supplémentaires pour les producteurs. D’autres estiment ce surcoût entre 25 et 50 dollars canadiens par tête de bétail. Mais au final, les éleveurs canadiens considèrent qu’avec l’augmentation des quotas, l’opération sera rentable.
L’accord, qui doit être finalisé, validé par le Parlement européen et ratifié par les Etats-membres de l’UE, n’entrera pas en vigueur avant 2015.
Moralité, il vaut mieux manger de la vraie viande de boeuf locale que de la viande Roumaine qui « crin »… de cheval !
je vous conseille la lecture cet excellent article sur le sujet
j’en profite pour vous rappeler qu’il y à une distribution de viande de veau « origine Ariègoise garantie !!! » le 21 mars prochain et qu’à l’occasion, il y a une dizaine de caissettes de disponible, n’hésitez pas à en nous contacter si vous êtes intéressés !
Après les deux premières années de rodage, l’AMAP viande de la Souleille attaque sa troisième saison.
Nous avons visité la ferme de notre productrice Isabelle en Ariège ce dimanche 30 septembre, et avons pu constater qu’elle s’occupait toujours des son petit troupeau avec beaucoup de courage et d’amour, dans un cadre toujours aussi enchanteur !
Les livraisons vont donc pouvoir reprendre ( voir c’est quand, ci-dessus ) et il y a des places de disponibles.
Nous cherchons donc de nouveaux adhérents pour cette saison qui comptera en tout 6 distributions, chacun étant libre de s’inscrire au nombre de distribution qu’il souhaite.
Avec au menu du veau et du bœuf Gascon, l’année 2013 s’annonce savoureuse!
On compte sur vous, vous pouvez venir nous voir lors des distributions ou nous contacter par mail ou par téléphone pour plus d’info.
Un petit billet pour vous rappeler la distribution ce soir. Isabelle nous apportera des caissettes de veaux, morceaux et saucisses. De quoi alimenter vos grillades estivales !
Comme d’habitude, rendez vous devant le CLAE de Sauzelong, au 92 avenue Bedouce. Distribution de 18h15 environ à 19h30 maximum.
Recommandation expresse d’Isabelle pour les saucisses : il ne faut pas les percer pour la cuisson, car elles seraient trop sèches.
Si vous souhaitez adhérer à l’AMAP viande de la Souleille : le rendez-vous est jeudi 21 avril de 18h30 à 19h30 dans la salle d’art plastique du CLAE (92 av. Bedouce). Vous trouverez les contrats ici.
Prévoir : contrats en 3 exemplaires, chèques. Il faut s’inscrire au moins à deux distributions.
Pour toute question : amapdelasouleille_chez_gmail.com
Il reste des places pour les trois distributions à venir :
> jeudi 12 mai : vache (boeuf) : bons morceaux et haché
> jeudi 23 juin : veau : bons morceaux et saucisses
> jeudi 6 octobre : boeuf, morceaux variés
Le prix est de 15€/kg, ce qui fait 90€ pour la caissette (6kg) et 45€ pour la 1/2 caissette (3kg).
Annie Weidknnet, du réseau des amaps Midi-Pyrénées a écrit un livre sur les amaps et il est riche en enseignements sur nos associations.
Il y a dix ans, en avril 2001, la première AMAP voyait le jour en France, dans le Var. Depuis, de nombreuses AMAP se sont créées, transformées, dissoutes, recréées…
De la découverte du concept à la création des premières AMAP puis leur diffusion, au plus près des hommes, des femmes et des enfants – si nombreux dans les AMAP –, au plus près de la terre, l’histoire des AMAP est multiple, comme le sont ceux qui la font.
Histoires au pluriel donc, improbables, imprévisibles, qui emportent et qui portent, qui font penser et créer. Oh ! non sans embûches ni déboires, mais parcourues de belles rencontres, de celles qui transforment et donnent des forces. Qui, comme le disait si bien Georges Brassens, nous montrent « qu’il reste encore du monde et du beau monde sur terre ».
Si ce livre peut être utile pour l’action, pour suivre quelques-uns des innombrables chemins à parcourir pour que notre Terre commune reste habitable pour tous les êtres vivants, pour inventer les chemins qui n’existent pas encore, alors son but sera atteint.
« Nous l’avons fait, vous pouvez le faire ».
Notre éleveuse Isabelle nous a livré sa production pour la première distribution de l’AMAP viande de la Souleille, jeudi 24 mars. Au menu, des caissettes de 6kg de morceaux variés de veau : escalopes, rôti, blanquette, côtes, tendrons… Les caissettes sont divisibles en deux caissettes de 3kg.
La prochaine distribution aura lieu jeudi 12 mai prochain. Au menu cette fois une vache – que l’on vend communément sous l’appellation « viande de bœuf ». Il est prévu de faire des caissettes mixtes de bons morceaux et de viande hachée, toujours de 6 ou 3kg. Le prix est toujours le même, 15€/kg, ce qui fait 90€ pour la caissette de 6kg et 45€ pour la 1/2 caissette (3kg).
Il reste des places disponibles pour ceux qui sont intéressés ! Le contrat est facilité à partir de cette distribution : vous vous engagez sur deux distributions seulement sur les trois distributions restantes (c’est à dire au choix, le 12 mai (vache), le 23 juin (veau morceaux + saucisses) et le 6 octobre (boeuf) -> voir le calendrier pour les détails). Par exemple, vous pouvez vous engager seulement pour les distributions du 12 mai et du 6 octobre.
Isabelle élève des vaches de race Gasconne à Pailhès, en Ariège. Son exploitation est en cours de conversion vers l’agriculture biologique, ce qui signifie qu’elle met déjà en pratique les méthodes bio depuis plus d’un an. Pour info, elle aura le label en mars 2012.
Bref, de la viande excellente (les amapiens confirmeront !), conjuguée au soutien d’une jeune productrice qui fait un travail de grande qualité, dans le respect de l’environnement… n’hésitez plus et rejoignez-nous !
Pour tout renseignement, vous pouvez nous contacter sur l’adresse mail de l’AMAP : amapdelasouleilleCHEZgmail.com Vous pouvez également poser vos questions à Miguel et Cyril pour les adhérents de l’AMAP du Pavé, ou à Julien pour les adhérents de l’AMAP des Sables.